La théorie de la palette de maquillage

Depuis que j’essaie de consommer moins (ou mieux), je me surprends à terminer mes pots de crèmes et, chose toute nouvelle, ma palette de fards à paupière (mis à part la couleur la plus claire que je n’utilise que très rarement). Je crois que c’est la première fois de ma vie que je vois le fond d’un boîtier.
 
Avant, j’avais tendance à passer d’une teinte à l’autre, d’une marque à l’autre, changeant constamment au grès de mes envies pour finir par me débarrasser de produits à peine utilisés. Sans vous parler du fait que si un boîtier avait été cassé comme celui-ci, il aurait passé directement à la poubelle. 
 
Ça m’a fait penser à ce qu’on lit dans presque tous les livres de développement personnel, soit l’importance d’aller au fond des choses. L’importance de commencer quelque chose, puis de persévérer pour finalement, et surtout, terminer cette chose. Ne pas s’arrêter en route, ne pas se saboter, ne pas se laisser détourner ni se laisser diriger par ses peurs. Parce qu’on le vaut bien! 😉
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1 Commentaire
  • Elodie
    juin 27, 2020

    Bravo!
    J’ai déjà vu le fond d’une palette de maquillage, il y a très longtemps, quand j’étais ado et que je consommais nettement moins, puisque pas de sous.
    Rationaliser le maquillage est un de mes chantiers en cours. Déjà, j’ai tout regroupé au même endroit, façon Marie Kondo. Et puis je vais tâcher de revoir le fond des palettes et des rouges à lèvres avant qu’il ne sente bizarre.

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